Début de mon roman
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Début de mon roman
C’est fou de voir comment un être peut facilement être déstabilisé. Sortez-le de son milieu habituel et puis entourez le d’inconnus et le tour est joué… C’est si simple de se sentir seule au milieu d’une foule. Ils parlent et puis on écoute le brouhaha ambiant. Rien d’autre à faire… on n’est pas habitué d’être là, à cet endroit, entouré de gens que l’on n’a jamais côtoyé. Hey bien oui, loin de tout repères, on se sent seul. On ère sans aucun but. Le seul objectif donné, retourner au passé, dans la zone de confort, à la normalité.
Je suis assise seule à ma table à observer et écouter discrètement les alentours. Plusieurs visages inconnus se déplaçant et parlant de tout et de rien. En fait, rien de bien passionnant à ma culture. Sachant que personne ne viendrait me voir, je me remis à ma lecture. Hey oui… contrairement à la majorité collégienne, j’aime beaucoup la lecture. Particulièrement les classiques comme Le Comte de Monte Christo d’Alexandre Dumas, Le Colonel Chabert d’Honoré de Balzac, Zadig de Voltaire, À Toi Pour Toujours Ta Marie-Lou de Michel Tremblay…ect. Personne ne comprend que je puisse aimer lire et encore moins se qu’ils considère comme étant des vieilleries qui devraient rester dans leurs cimetière de poussière. Mais bon, je suis habituée au regard que les autres me porte. Ce regard qui, en principe, devrait me faire sentir comme une extra-terrestre sur terre. Mais bon, moi je me sens entièrement normale et je crois que c’est cela l’important. Je lève les yeux et je vois qu’il est bientôt l’heure de me rendre en cours. Je sourie à la pensée que c’est un cours de littérature. Je me dis que j’ai encore un peu de temps pour lire. Je reprends donc la lecture de mon livre, « Adolphe » de Benjamin Constant. Je viens de le commencer et j’aime déjà le style. Ce roman est ici du courant appelé « le romantisme ». C’est le courant que j’affectionne le plus. J’aime bien les thèmes qui y sont abordés et puis j’aime aussi tous les états d’âmes qui sont étalés sans aucune retenue. Ah, il est l’heure pour moi de me rendre à mon cours si je ne veux pas être en retard. Je rassemble donc mon livre, mon cartable et mon étui à crayons et je me dirige vers ma classe. J’avance sans vraiment regarder autour de moi. Je préfère regarder où je mets mes pieds. Aïe! Mon épaule! Quelqu’un viens de m’accrocher et j’ai échappé tous mes trucs. Je m’accroupie pour tout ramasser. Soudain, je me rends compte que quelqu’un a décidé de m’aider. C’est un garçon aux cheveux mi- longs et noirs et aux yeux bruns foncés comme le chocolat noir. Il me regarde quelques secondes et secoue la tête avant de s’excuser de m’avoir bousculé. Je lui répond que c’est pas grave que sa arrive à tout le monde et toutes les bêtises de ce genre. En plus, je suis certaine d’avoir un sourire idiot de plaquer sur la figure. À cette pensée, je sens mes joues se coloré d’une teinte de rouge. Je termine rapidement de ramasser mes effets et je prends se que le garçon a ramassé, c’est limite si je ne lui arrachais pas. Pas question qu’il voit mon visage rouge comme une pivoine! Je pars vers mon local et je me retourne en chemin en lui criant un merci pour l’aide qu’il vient de me donner. Mais, au fait, pourquoi je le remercie? C’est bien lui qui m’a bousculé… Il était donc normal qu’il m’aide.
Si j'ai poster ce petit début, c'était pour savoir si vous croyez que cela pourrait valoir la peine que je continue et que j'essais de me trouver un éditeur si je termine ce roman....
Je suis assise seule à ma table à observer et écouter discrètement les alentours. Plusieurs visages inconnus se déplaçant et parlant de tout et de rien. En fait, rien de bien passionnant à ma culture. Sachant que personne ne viendrait me voir, je me remis à ma lecture. Hey oui… contrairement à la majorité collégienne, j’aime beaucoup la lecture. Particulièrement les classiques comme Le Comte de Monte Christo d’Alexandre Dumas, Le Colonel Chabert d’Honoré de Balzac, Zadig de Voltaire, À Toi Pour Toujours Ta Marie-Lou de Michel Tremblay…ect. Personne ne comprend que je puisse aimer lire et encore moins se qu’ils considère comme étant des vieilleries qui devraient rester dans leurs cimetière de poussière. Mais bon, je suis habituée au regard que les autres me porte. Ce regard qui, en principe, devrait me faire sentir comme une extra-terrestre sur terre. Mais bon, moi je me sens entièrement normale et je crois que c’est cela l’important. Je lève les yeux et je vois qu’il est bientôt l’heure de me rendre en cours. Je sourie à la pensée que c’est un cours de littérature. Je me dis que j’ai encore un peu de temps pour lire. Je reprends donc la lecture de mon livre, « Adolphe » de Benjamin Constant. Je viens de le commencer et j’aime déjà le style. Ce roman est ici du courant appelé « le romantisme ». C’est le courant que j’affectionne le plus. J’aime bien les thèmes qui y sont abordés et puis j’aime aussi tous les états d’âmes qui sont étalés sans aucune retenue. Ah, il est l’heure pour moi de me rendre à mon cours si je ne veux pas être en retard. Je rassemble donc mon livre, mon cartable et mon étui à crayons et je me dirige vers ma classe. J’avance sans vraiment regarder autour de moi. Je préfère regarder où je mets mes pieds. Aïe! Mon épaule! Quelqu’un viens de m’accrocher et j’ai échappé tous mes trucs. Je m’accroupie pour tout ramasser. Soudain, je me rends compte que quelqu’un a décidé de m’aider. C’est un garçon aux cheveux mi- longs et noirs et aux yeux bruns foncés comme le chocolat noir. Il me regarde quelques secondes et secoue la tête avant de s’excuser de m’avoir bousculé. Je lui répond que c’est pas grave que sa arrive à tout le monde et toutes les bêtises de ce genre. En plus, je suis certaine d’avoir un sourire idiot de plaquer sur la figure. À cette pensée, je sens mes joues se coloré d’une teinte de rouge. Je termine rapidement de ramasser mes effets et je prends se que le garçon a ramassé, c’est limite si je ne lui arrachais pas. Pas question qu’il voit mon visage rouge comme une pivoine! Je pars vers mon local et je me retourne en chemin en lui criant un merci pour l’aide qu’il vient de me donner. Mais, au fait, pourquoi je le remercie? C’est bien lui qui m’a bousculé… Il était donc normal qu’il m’aide.
Si j'ai poster ce petit début, c'était pour savoir si vous croyez que cela pourrait valoir la peine que je continue et que j'essais de me trouver un éditeur si je termine ce roman....
Re: Début de mon roman
c'est super nice :O j'ai hâte de lire la suite!
Val- Messages : 42
Date d'inscription : 03/12/2009
Age : 33
Localisation : Rouyn-Noranda
Re: Début de mon roman
Je sais pas si je la publierai ici par contre puisque je voudrais le publier un jour ^^'
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